Être un sultan et posséder un harem

Être un sultan et posséder un harem

Certes, on pourrait bien appeler ce fait, cette fantaisie, cette frénésie… le complexe du sultan !

Être un sultan et posséder un harem

Cet inévitable désir, jamais assouvi d’ailleurs, de baiser plus d’une femme à la fois. De se retrouver à poil au beau milieu d’une horde de femelles en rut. Complexe du lion aussi alors, me direz-vous ! Eh oui, le mâle dominant trônant parmi les dulcinées à la libido en feu, attendant d’être honorées par l’irremplaçable membre viril. Bref, notre conquérant adore se représenter dans les affres de la diversité féminine, touchant tantôt les seins magnifiques de l’une, léchant la chatte velue d’une autre, tout en étant chevauché par le sexe volcanique d’une troisième muse au corps irréprochable.

Fantasme numéro UN de l’hétérosexuel moyen, le trip avec plus d’une femme est LE classique par excellence.

Celui qui fait bander sans faillir et qui pousse bien souvent le mari, le conjoint, l’amant sur les sentiers du mélangisme, de l’échangisme, du triolisme… Mais ce fantasme, tout-puissant soit-il, n’est pas toujours sans risque quand les dames décollent en mode Formule1. Et ces messieurs s’en rendent bien souvent compte un peu trop tard ! Mais ça, c’est une autre histoire !

Voilà donc comment le désir germe : la plupart des hommes se lassent d’embrasser, caresser, lécher toujours le même corps, les mêmes courbes, les mêmes endroits secrets qui finissent par être aussi publics que la tête du clown Ronald Macdonald. Un petit suspens dans l’histoire ne ferait pas de tort à une remontée du désir et c’est alors que l’idée candide de voir sa copine se faire draguer par une autre femme effleure l’esprit de l’homme. Il imagine la scène, sa femme effleurée par une bombe sexy, des regards lourds de sous-entendus, des sourires coquins, une invitation tacite. Lui, en mec compréhensif qui passe sur tous les caprices de son amoureuse, assiste avec excitation à ces préliminaires. Puis les voilà à la maison, chez elle ou chez eux, qu’importe, et les deux gonzesses se roulent des patins à donner une trique de béton. Monsieur se régale déjà alors que les nanas plongent les mains sous les fringues et commencent à se savourer tétons et entrecuisses avec une ardeur qui met monsieur dans tous ses états. Au comble d’un désir de plus en plus sauvage, l’homme tombe pantalon et caleçon et s’avance, triomphant, le pénis bien dressé afin de mettre de l’ordre dans ce petit dérapage au féminin. Goûté par deux bouches, tripoté par quatre mains, sollicité par deux vagins bien chauds, notre don Juan se promet alors des heures, des jours, des semaines, des mois d’un pur plaisir, tout bénef pour lui, certain de pouvoir satisfaire ces femelles qui ne demandent au fond que l’extase d’une pénétration…

Autre fantasme masculin

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